Une des nombreuses pancartes sur le parcours |
Voici les premières impressions :
Popoy |
Pour Popoy :
"Beaucoup de bons souvenirs...
... et des images :
- le gars qui nous a dit 'there is a lot of steam' quand nous étions en train d'uriner le long de la route a la sortie du bus qu'on peut traduire par 'il y a beaucoup de vapeur' (surtout pour ceux qui avaient bu de la bière la veille!)
- les Espagnols qui fumaient une cigarette avant le départ.
- le départ avec la chanson New York, on dansait tous les 3 (Christophe N et Hugues) et les autres restaient stoïques. J'avais l'impression d'être dans une disco en plein air. On a franchi la ligne en dansant! C'est une première pour moi!
- le temps magnifique,
- le lieu (Verrazano Bridge),
- l'ambiance,
- la musique c'était super magique.
- les coureurs qui jetaient leurs vêtements aux spectacteurs en haut des bus.
Il y a eu aussi le fameux 'wall'. T'as l'impression d'être devant un 'mur' a partir du 16e mile. Moi, j'ai franchement eu cette impression au 20e.
J'ai aussi adoré la vue sur Manhattan et ses grattes-ciels tout le long du parcours."
Hugues |
Pour Hugues :
« What a dream !!! »...
... les souvenirs de pancartes :
- WELCOME IN BROOKLYN (en arrivant dans Brooklyn)
- GET OFF BROOKLYN (et en sortant de Brooklyn)
- COME ON RUNNERS YOUR BEER IS GOING TO BE WARM ("Allez les coureurs, votre bière va se réchauffer")
- PAIN IS TEMPORARY PROUD IS FOREVER ("la douleur est passagère, la fierté est pour toujours")
- COME ON HUGUES YOU’RE THE BEST (il ne me semble pas l'avoir vu celle-ci)
- HUGUES YOU ARE RUNNING LIKE A KENYAN !!! (celle-ci non plus)
- CHRISTOPHER YOU ARE TOO OLD TO RUN (encore moins celle-là)
- JEAN MARC TAKE OFF THE TRAILER (ni celle-ci)
Christophe N |
"Quels souvenirs et quelles émotions, je ne me souviens pas dans mon passé de compétiteur avoir fini une course en versant des larmes comme au MNY
Que c’était fort…
Ce mélange de fatigue, de fierté en se disant je l’ai fait avec un public sur 42 KM qui vous accompagne telle une étape de montagne du tour de France.
Chapeau et merci à ce peuple américain ; que vous soyez le 25 000ème inconnu à courir devant eux, il vous acclame avec des « Vive la France, allez les bleus » tous les 10 m..…Comme si vous étiez un champion du monde en titre.
Chapeau également à l’organisation : Jamais nous avons attendu. Par ex le retrait des dossards : vous vous rendez compte 48 000 personnes qui viennent retirer leur dossard.
Eh bien aucune attente, vous rentrez dans un hall de la taille des halls expo de la porte de Versailles avec un filtre de validation d’identité qui une fois passé vous conduit au stand ou une hôtesse vous prend en charge immédiatement.
Je n’ai jamais vu une organisation de course autant au point.
Je n’oublierai jamais également l’hymne américain avant le départ avec une chanteuse en direct dont la voix vous dresse les poils dès les premières notes.
Et le summum c’est la chanson « New York New York » qui nous a permis de danser eh oui de danser et de s’élancer complètement galvanisé pour 42 km.
La seule pression d’avant course fut le fait de redouter le problème ou la défaillance physique qui conduit à l’abandon.
Cela doit être insupportable car les quelques mètres « marchés » lors des ravitaillements vous donne immédiatement un sentiment de culpabilité aussi intense que les encouragements des ricains et les cris des ricaines tels que You can’t stop , You ve come here to be a finisher not a looser….
J’ai vraiment apprécié les échanges d’après match entre Chauchau, Philippe Rémond et le club des 5
Et puis cet évènement m’a surtout fait passer un très bon moment avec mes vieux potes mais aussi avec Jean Marc et aussi avec Olivier."
En attendant la 2e partie de "Paroles de marathoniens", un coup de cœur, voici pour revivre ce marathon, le témoignage tiré du blog de Biki le biker, qui l'a couru en 2010. C'est un récit par borough... et c'est très bien illustré :
Et chers amis, n'oubliez pas ceci :
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