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Cette semaine, c'était le début de l'entraînement spécifique pour le marathon de Paris. Les hostilités ont commencé avec une séance de VMA mardi soir (fractionné) 2x8 30-30.
Je vous avais déjà exposé, dans un post l'année dernière, les difficultés de ces séances où la fréquence cardiaque monte très haut (entre 90 et 95% de la FCM, cf. courbes plus haut). C'est donc non sans un "certain plaisir" (et non sans une certaine appréhension) que je me suis remis aux séances de VMA cette semaine avec en prime : le froid, le vent et la tombée de la nuit (tout de suite ça donne envie ;-)). Au final, j'ai pas mal craché mes poumons, j'ai eu un peu froid mais j'étais content de l'avoir fait !
Pourquoi "se faire mal" avec ces séances ?
Ce type de séance permet (source : Guide de la Course à Pied, du Plaisir à la Compétition) :
- de garder de la tonicité
- de lutter contre la "diésélisation" de vos capacités
- de maintenir une certaine puissance musculaire et une qualité gestuelle
- de lutter contre le vieillissement
- de garder le goût de courir vite.
- une séance par semaine ou tous les 10 jours
- adopter des formules moins traumatisantes de type 30-30
- choisir des surfaces souples de préférence (stade ou pelouse)
- programmer ce type de séance au moins 3 heures après un repas
- prévoir une boisson de récupération (ou un gel)
- ne pas programmer ce type de séance la semaine avant la course, la semaine après la course, en phase de régénération et en période de récupération de blessure
- faire l'impasse sur la séance si fatigue liée au stress, travail, famille, transport...
- par temps froid, retirer une couche de vêtement pour faire la partie active de la séance (que vous remettrait en fin de séance lors du retour au calme pour ne pas attraper froid)
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